La nomination de Gabriel Attal à la fonction de Premier ministre offre au Président de la République, et à ses ministres de l’Intérieur et de la Justice, Gérald Darmanin et Éric Dupont-Moretti, l’opportunité de passer sous silence l’explosion des chiffres de la délinquance dans notre pays sur l’année 2023.
Ces données publiées par le service statistique ministériel de la sécurité intérieure indiquent que les Français subissent dorénavant en moyenne 3 meurtres chaque jour, 41 agressions par heure, 1 agression sexuelle toutes les 6 minutes et un cambriolage toutes les 3 minutes.
Le mandat d’Emmanuel Macron restera définitivement entaché par le grand ensauvagement de la société et l’effondrement de l’autorité de l’État.
Pour combattre cette violence endémique, nous ne pouvons plus faire l’impasse sur la faillite de la politique pénale, les carences de l’appareil judiciaire et sur la part que représente l’immigration extra-européenne dans l’explosion de la criminalité. Quelques chiffres officiels, mais limités, nous démontrent déjà le lien indéniable entre immigration et insécurité.
Afin d’apporter la réponse politique la plus adaptée, il est grand temps de bénéficier d’informations précises et de lever le tabou sur l’origine des agresseurs et le profil des victimes en légalisant les statistiques ethniques.
C’est le sens de la tribune publiée par Marion Maréchal dans le Journal du Dimanche le 17 décembre dernier. Contre le déni du racisme anti-Blancs : lever le tabou des statistiques ethniques (lejdd.fr)
La sécurité des Français commande plus que jamais un exercice de vérité sur les causes de l’aggravation continue de l’insécurité en France.